vendredi, février 11, 2005

L'allumeuse qui mouille...

Tout avait bien commencé avec Moby. Rencontre en boîte, à l'époque elle avait un mec, elle était amoureuse (lol), il y avait peu de lumière et elle avait des hauts talons donc j'étais plutôt excité malgré ses 127kgs (environ... j'ai jamais eu suffisament d'humour pour pouvoir lui demander son poids). Le soir même, elle me faisait comprendre que si elle n'avait pas eu ses ragnagnas, elle se serait volontiers faite troncher par mon auguste personne. Hélas! le simple fait qu'elle cède lui avait fait perdre tout interêt à mes yeux et je ne souhaitais même pas qu'elle s'occuppe buccalement de Brice (mon kikounet). Etant un gentil garçon, je lui ai quand même laissé mon numéro et ce qui devait arriver arriva: les coups de fil plurent comme à Gravelotte; je pense que vous avez deviné la suite: un subtil exercice de manipulation ("mais si tu me plais, j'ai pas appelé comme promis parce que mon chien fait une dépression... tu as raison, je n'ai pas de chien, mais j'en aurai peut-être un jour") pour maintenir son désir au top. Ca a quand même duré un an et demi, dix-huit mois pendant lesquels elle a juste eu droit à trois baisers et demi (la garce a réussi à me voler un baiser, suite à un moment d'inadvertance de ma part). Mais depuis un mois environ, rien. Plus de nouvelles. Ca m'embête un peu car, ne me demandez pas pourquoi, j'aime bien avoir des groupies énamourées (même lorsqu'elles sont aussi bandantes qu'une serpillière). Je crois que je vais lui passer un petit coup de fil, histoire de lui faire un numéro de charme dont j'ai le secret. Et lui demander des nouvelles de sa coloc', qui est encore moins attirante qu'elle (mais qui a d'énormes seins). A part ça, je suis aussi sorti avec cette coloc' mais je n'ai pas consommé, là non plus: c'était juste pour rendre Moby jalouse.
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