samedi, février 26, 2005

Lâcher la proie pour Londres

Je vous ai raconté que je m'étais inscrit sur Yahoo! Rencontres pour essayer de serrer des bonnasses. Au départ j'avais mis ma photo (retouchée par Photoshop, bien sûr) mais ne recevant aucune réponse après 169 messages envoyés, je me suis dit qu'il y avait peut-être un problème quelque part. J'ai donc utilisé un stratagème aussi subtil que diabolique: j'ai remplacé ma photo par celle d'un superbe mannequin beau gosse playboy chaud lapin craquant mignon. L'objectif était d'aguicher des poufiasses, de leur donner rendez-vous dans un coin sombre et glauque de notre belle capitale puis de leur envoyer un sms pour les prévenir que j'avais somptueusement décidé de leur poser un lapin et enfin de surgir (sous mon vrai visage, bien sûr) et de leur administrer un plan drague implacable et sans rémission. J'ai ainsi fait la connaissance d'Arianna. Arianna venait d'Europe de l'Est (mais elle m'a affirmé ne s'être jamais prostituée, ce qui a suscité des doutes, chez moi) elle était belle comme une doudoune qu'on vient de dépouiller et je souhaitais ardemment la faire décoller. Nous avons échangé des e-mails sulfureux et j'étais certain que lorsque je la verrais je pourrais aisément décharger ma verve de chacal. Hélas, au moment où j'ai décidé de passer à la vitesse supérieure en lui demandant son numéro (de téléphone, hein, pas de sécu) elle m'a gentiment mais sournoisement répondu: "Desolee, mais je n'ai pas envie de sortir avec des gens que je ne connais pas". Hé salope, comment tu fais pour connaitre des gens, si tu ne les rencontres pas ? Ma conclusion est simple: malgré ses dénégations de vierge effarouchée, Arianna est une pute et moi je suis un blaireau. A part ça, j'ai plutôt bien dormi cette nuit.
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jeudi, février 24, 2005

Ami-ami à Miami ?

Pendant que George W. Bush, Jacques Chirac, Silvio Berlusconi et le Mollah Omar tapent la discute à Bruxelles, moi je cherche toujours aussi désespérément à troncher de la meuf. Mais peut-être que je cherche au mauvais endroit... Paris, capitale de l'amour... amour de la branlette, oui! Il faut que je m'envole vers des cieux plus cléments pour mon cher gourdin. Voyons voir...

1- Los Angeles
Ville où la silicone est en vente libre. Capitale mondiale du porno. Des pétasses aux cuisses accueillantes à profusion. Dans les boîtes de L.A., les filles te sucent avant de te demander si tu as une cigarette. Que la foudre me foudroie si je ne réussis pas à me vider les burnes dans ce paradis de la décadence!

2- New-York
Là-bas c'est le cholestérol qui est en vente libre. Le premier mot qu'une new-yorkaise qui se respecte apprend c'est "quintal". Pour moi qui ai l'habitude des filles rondes (soyons gentils...) je ne devrais pas être trop dépaysé. Le point fort de New-York c'est que c'est une ville où il y a tellement d'insécurité que je suis persuadé que si je demande gentiment à une fille si je peux la fourrer, elle me répondra "oui" car elle se dira "si je dis non, il pourrait devenir violent". Pour moi, c'est tout benef'.

3- Carson City, Nevada
Entre L.A. et NYC, un petit saut à Carson City, trou paumé du Far West. Pourquoi ce bled ? eh bien parce qu'il abrite l'Eden des queutards de cette planète, le Bunny Ranch. J'ai visité le site internet: apparemment le Bunny Ranch c'est une sorte de motel rempli de salopes qui sourient comme des salopes. C'est peut-être payant ce truc-là, j'ai pas fait gaffe, mais de toutes façons, si on me demande quoique ce soit après que j'ai tiré mon coup, je leur dirai que j'ai oublié mon portefeuille.

4- Ibiza
Le rendez-vous européen des fêtards de tout poil. Je me dois de l'honorer de ma présence d'une part parce que fêtard et queutard ça rime et d'autre part parce que dans ce genre d'ambiance, il n'est jamais très difficile de profiter d'un malentendu pour glisser subrepticement son zguègue dans la chatte d'une demoiselle un peu distraite. Une fois que j'aurai introduit mon machin, j'imagine que n'importe quelle fille ayant un minimum d'éducation me laissera quand même terminer mon affaire avant de me mettre un rateau.

5- Rio de Janeiro
Beurk. J'aime pas la samba.

6- Budapest
Vous avez tous remarqué que la plupart des nouvelles actrices pornos sont hongroises ? pourquoi ? parce que c'est bien connu, en Hongrie les deux métiers qui font rêver les jeunes c'est président de la république française et chaudasse. Je suis donc convaincu qu'il devrait y avoir moyen de faire quelque chose dans ce secteur car il ne faut pas laisser les vocations se perdre.

A part ça, j'espère qu'il n'y aura pas grève de métro à Paris demain parce que ce serait vraiment pénible.
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mercredi, février 23, 2005

Porno choc

J'ai passé la soirée d'hier à mater deux bons vieux pornos des familles. Il faut croire que le fait de m'astiquer furieusement la tige active aussi mon cerveau (si ça se trouve, mon cerveau est situé dans mes boules...) car j'ai eu une idée chatoyante: devenir acteur porno!!! eh oui, je pourrai niquer jusqu'à plus soif des bombes atomiques en plus je serai payé pour ça! Et ce ne sera qu'un début car après, j'évoluerai: je deviendrai ensuite scénariste de films X (si, si!! il y en a), réalisateur et enfin producteur. Je serai le futur Marc Dorcel (sauf que je ne m'appelerai pas Marc Dorcel). Une fois producteur, je révolutionnerai l'univers du porno français! D'abord les actrices: 95D minimum pour toutes, décoloration à l'eau oxygénée obligatoire et cheveux longs de rigueur. Je ferai moi-même le casting (avec tests en profondeur et en toute intimité...) et je recruterai de nouvelles têtes: Judith Godrèche, Laurence Ferrari et Ségolène Royal. Ca le ferait pas mal, non ? Mon fidèle mandrin (Brice, pour les intimes) qui défoncerait ces coquines BCBG sous l'oeil d'une caméra vicieuse... rien que d'y penser... attendez, je reviens... Ensuite, je changerai les acteurs: je ne recruterai que des nains et des sosies du Prince Charles et des gars de Tragédie; aux côtés de gars si moches, ce serait bien le diable si on ne finissait pas par me trouver gosbo!!! Je changerai les décors aussi; avec moi les pornos se passeront dans des bibliothèques. Juste comme ça, pour le kiff... Et puis toutes les filles seront habillées en policières car j'ai toujours rêvé de baiser la police. Vous voyez, j'ai beaucoup de projets et ceux qui pensent que je ne suis qu'un branleur auront des surprises. A part ça, je cherche des pass pour n'importe quel site de cul.
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lundi, février 21, 2005

Qui en veut à mon kiki ???

On dit souvent que tout vient à point pour qui sait attendre. Bah hier j'étais au restaurant, j'ai su attendre et mon steak il n'est pas venu à point mais bien cuit. Certes je l'avais commandé ainsi et de toutes façons je me suis barré sans payer... et alors ? Moi j'en conclus qu'il faut parfois se méfier de ce qu'on dit souvent. En tout cas, je continue de savoir attendre Pamela Anderson (ou n'importe quelle autre blondasse siliconée) et peu importe qu'elle vienne à point, bien chaude ou awalpé: peu importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse, n'est-ce-pas ? Parlons maintenant des femmes mariées. Pourquoi ? parce que. J'aime les femmes mariées, toutes les femmes mariées. L'interdit, l'excitation, les passages à tabac par les maris jaloux, tout ça c'est tellement bon. Débarquer à l'improviste dans son HLM pendant que Monsieur est au boulot et peloter Madame pendant qu'elle fait à manger, obtenir une gaterie dans le parking d'un cinéma pendant que le chéri croit sa belle aux toilettes, pilonner une ispice di counasse pendant qu'elle sussure d'une voix hoquetante des mots doux à son homme à l'autre bout du fil, tout cela fait partie de ma mission sur cette sinistre planète. Et tant pis pour les divorces: on ne fait pas un queutard sans briser des ménages. Venons-en à la question essentielle: comment faire pour niquer de la femme mariée ? Eh bien je ne sais pas car tout ce que j'ai évoqué plus haut n'est qu'un ramassis de fantasmes. Mais j'ai quand même quelques pistes: 1- les clubs de sport: ils sont, paraît-il, remplis d'oisives délaissées et déchaînées. Petit problème: je ne connais pas de club de sport qui fasse crédit et la carrure des personnels de ce genre d'établissement m'incite à ne pas tenter de resquiller.2- les salons de thé: des tanières de bourgeoises bien sous tous rapports sexuels, à ce qu'on m'a dit. J'ai même déjà peaufiné une méthode infaillible: me faire passer pour un gangster! Vous voyez le genre ? blouson en cuir, barbe de trois jours, regard de tueur... C'est bien connu, les bourgeoises raffolent des mauvais garçons. L'ennui c'est qu'on ne laisse pas les gangsters entrer dans les salons de thé, surtout quand ils puent autant le looser que moi.3- Les mairies, les samedi après-midi: tout le monde le sait, le rêve de n'importe quelle jeune femme normalement constituée est de se taper un inconnu le jour de son mariage car c'est le meilleur moyen de commencer une brillante carrière de salope. Il faut croire que jusqu'ici je ne suis tombée que sur des jeunes mariées anormalement constituées et de jeunes époux normalement tabasseurs.En tout cas, je compte sur vous pour m'envoyer tout ce que vous jugerez utile: des conseils, des photos, des numéros de téléphone (pas de 0899, please, je les connais déjà tous). A part ça, il faut vraiment que je pense à payer mon loyer car je commence à recevoir des courriers d'huissiers de justice: je ne les ai pas ouverts mais si ça se trouve, c'est pour me proposer des plans baise avec des strip-teaseuses...
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dimanche, février 20, 2005

Adriana Karembeu nue

Eh oui, je suis prêt à écrire que j'ai vu Adriana Karembeu nue, juste pour que les moteurs de recherche me renvoient plus de lecteurs! Si c'est pas pathétique... Mais parfois la vie est encore plus dure que mon willy. C'était le cas hier soir dans ma discothèque préférée, que j'ai l'habitude d'appeler affectueusement "mon trou à rats". Voir toutes ces petasses bonnes comme des Haribo et me dire qu'elles finiront toutes la soirée dans les bras de gars encore plus moches et encore plus cons que moi (je vous jure qu'il y en a!) n'est pas le genre d'observation qui me met en transe, en France. Qu'à cela ne tienne, j'étais mort de faim et il fallait que je croque! J'ai d'abord essayé avec une rousse (rassurez-vous, j'avais le nez bouché) qui descendait les escaliers:
- Excuse-moi (erreur fatale! ne jamais s'excuser quand on aborde une poufiasse...) je peux te poser une question ?
- Non.
Dans ces moments-là j'ai l'habitude de m'accrocher, d'insister et de ne pas lâcher l'affaire jusqu'à ce que j'ai pu au moins lui tripoter un sein (voire deux) mais hier j'étais magnanime et, bon prince, je l'ai laissé s'envoler comme la tourterelle qui ignore encore que les chasseurs ne sont pas tous aussi sympathiques que moi. Heureusement, juste après ce douloureux épisode j'ai vu une fille aussi bourrée que Richard Bohringer ou Renaud un jour normal. L'occason de rêve me direz vous. Non mais, vous croyez quoi ? que j'allais profiter de la situation pour balader mes mains baladeuses sur son corps de rêve (bah oui, elle pesait moins de 95 kg, ça me changeait) ? que j'allais abuser de son état pour introduire ma langue, ma zigounette et que sais-je encore dans sa bouche, dans son minou et où sais-je encore ? eh bien oui c'est ce que j'ai fait. Certes je n'ai pas introduit grand chose car ses copines sont intervenues un peu trop tôt, mais j'ai quand même pu préparer mon futur examen d'officier de police (mdr) en révisant grâce à cette demoiselle l'épreuve "Palpation de sécurité sexuelle". La soirée fut donc épanouissante et j'en suis heureux. A part ça, jai chourré le portefeuille de la demoiselle que j'ai palpée... mais c'était pour la bonne cause.
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vendredi, février 18, 2005

L'espagnole qui s'pignole...

Une fois de plus, j'ai passé la soirée d'hier dans une discothèque. Dans ce lieu de débauche et de luxure effrénée, je trainais ma carcasse désabusée en songeant à la décadence de notre époque et en cherchant des bonnasses. C'est alors que j'eus envie d'aller aux toilettes. J'allai donc aux toilettes et ensuite, je me lavai les mains. Certes, ce petit détour ne m'a procuré aucun numéro de biyatch mais croyez-moi, pisser, quand on en a très envie, ça soulage. Bref, j'étais en chien et à la recherche de chatte(s). Je repérai vite une Croate qui dissimulait ses "rondeurs" (mdr) sous une robe informe. Evidemment, je ne savais pas à ce moment qu'elle était croate et d'ailleurs vu que je me suis fait doubler sur ce coup là par un chacal, je n'ai pas pu lui parler. Donc si ça se trouve, elle n'était pas croate... Mais bon, on s'en fout, non ? Je me suis vite rabattu sur Cara, qui m'annonça cash qu'elle était mariée et que je perdais mon temps (petite coquine, tu sais comment m'exciter, toi). Je l'avoue je me suis pris un rateau mais j'ai quand même profiter de la musique assourdissante pour me rapprocher d'elle et la tripoter un peu: bonne fille, elle m'a au moins accordé ça... Du coup, j'ai passé le reste de la soirée à mater une jolie brune qui n'arretait pas de poser sa main gauche sur ses seins. Précision utile: elle avait comme seul vêtement une sorte de haut de bikini et un collant noir vaguement transparent qui permettait de distinguer son string sans aucune difficulté. Elle ne dansait pas seule comme la gonzesse de De Palmas mais avec sa copine. A part ça, j'ai testé le Freedent Amangoya et c'est pas mal du tout.
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jeudi, février 17, 2005

Si c'est docile, j'y vais aussi...

J'ai pris un verre avec Bugs l'autre jour. Bugs, je l'ai rencontrée en boîte quelques semaines plus tôt et il faut bien avouer que Bugs est assez spéciale. Elle m'a plus ou moins clairement fait comprendre qu'elle aime être soumise au mec avec lequel elle sort. Elle m'a un peu parlé de tout ce qu'elle a fait pour son ex (au grand étonnement de son entourage) tout en trouvant ça absolument naturel et j'avoue que j'en étais tout aise. Dans le jargon de la séduction, il y a un terme technique pour qualifier ce genre de fille, on appelle cela de la bonne pâte. Je ris sous cape en pensant à tous mes petits caprices qu'elle satisfera avec le sourire. J'ai commencé en lui précisant fermement qu'elle ne devait plus sortir en boîte sans moi (pas que je sois jaloux mais 1- je pourrai draguer tranquille quand j'irai en boîte, sans craindre de la voir débarquer à l'improviste comme c'est déjà arrivé une fois et 2- je voulais tester un peu mon nouveau pouvoir): Bugs n'a pas moufté. Le problème c'est que Bugs n'est pas super belle... bon elle satisfait un peu mes critères de recherche mais elle a deux/trois disgracieusetés (néologisme inside) assez embêtantes. J'envisage de plus en plus de lui "suggérer" d'aller voir un chirurgien esthétique. Mais pour cela il faudra que je la travaille un peu plus au corps... A part ça, elle a pas mal d'humour.
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mercredi, février 16, 2005

Blogueuses fourrées...

Draguer une blogueuse... J'y pense parfois, surtout quand je lis les aventures de blogueuses comme la blogueuse aux gros seins ou l'écrivaine contemporaine (qui semblent, hélas, avoir cessé d'écrire). Dans ces moments là, je me dis que j'aimerais bien profiter du caractère chaudassier de ces sympathiques jeunes femmes (ou de n'importe quelle autre jeune femme... ou moins jeune... ou... non, il faut que ce soit une femme, quand même...). Sauf que j'ignore comment m'y prendre. Faut-il, comme tant de blaireaux, lire régulièrement ses notes, les commenter comme un faux-cul achevé ("ouais! t'as raison! t'es trop cool! lol") puis, quelques semaines plus tard, passer à l'étape suivante (envoi d'e-mail) en espérant que tout ça débouche sur un rendez-vous ? Man, j'ai pas de temps à perdre. Et puis ce genre de filles semblent aimer les garçons peu... conventionnels. Faut-il envoyer un e-mail cash ("22cm. dispo tous les jours.") avec l'adresse de mon blog ? Hmmm... Un peu trop direct, je trouve. Faut-il jouer au détective privé, chercher des indices pour pouvoir localiser précisement l'auteure, et s'arranger pour la rencontrer "fortuitement" ? J'hésite, j'hésite... Au fait, si vous avez des adresses de blogueuses "sympathiques", envoyez-les moi please: mon poignet droit ne demande que ça. Pas la peine de me parler de Maïa car avec cette jeune femme, le rateau est vraiment trop évident. A part ça, elle est petite, rousse, elle ne raconte pas les détails croustillants de ces aventures et elle a de petits seins donc je vois pas trop comment je pourrais fantasmer sur cette fille.
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mardi, février 15, 2005

Internénettes...

Soucieux de multiplier les contacts humains et sexuels, je me suis inscrit sur un site de rencontres. Meetic semble être (et de loin) le mieux achalandé en bonnasses sans vergogne mais apparemment quand tu es sur ce site, tu peux même pas péter si t'es pas abonné! Etant un radin notoire (ce qui tombe bien vu qu'en plus je suis fauché), je me suis rabattu sur Yahoo! Rencontres. Une petite visite, avec des critères de recherche basiques (blonde/180cm minimum/avec photo/avalant parfois... non, je rigole) et... miam! Quinze minutes plus tard, je créai mon annonce (le temps de me pignoler un peu, suite à la vue de ces photos...), mettant une photo à peine retouchée (merci Photoshop) et gardez vos poules car le coq est laché! Un petit coup de fil à un numéro de surtaxé (bah oui, même sur Yahoo il faut payer si t'es un mec) et me voila abonné pour trois jours. Trois jours pour rentabiliser mes deux euros, je comptais bien en profiter! Deux heures plus tard, j'avais envoyé une soixantaine de messages selon une technique qui me paraissait infaillible: j'avais écrit un petit texte explicant que l'annonce de la fille me plaisait parce que *bip* (je vais quand même pas vous révéler mes petits secrets, oh!), je me présentais un peu (en parlant pour ne rien dire, cela va de soi, car il faut rester vague tant qu'on ne sait pas précisement ce que la fille recherche) et au milieu de tout ça, j'ajoutais une ou deux phrases spécifiques à l'annonce de ma cyber-pseudo-dulcinée, histoire qu'elle ne soupçonne pas une seconde que mon texte était un copier/coller. Quelques demoiselles m'ont répondu (certaines m'ont même dit que j'étais mignon... mdr, je suis pas le seul affamé, apparemment) et je vous raconterai tout ça en détail une prochaine fois. A part ça, je n'ai vu de grosse poitrine ni sur Yahoo ni sur Meetic.
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lundi, février 14, 2005

C'est dans la boîte...

Samedi soir, comme tous les samedis soir, je suis allé en boîte. Comme d'hab, il y avait du monde à gogo, des dragueurs en carton, quelques allumeuses et une bonne masse de blaireaux. La musique est bonne, les rateaux pleuvent, mais je réussis quand même à me frotter à quelques demoiselles plus ou moins consentantes (non, je rigole, elles étaient toutes consentantes) puis j'aborde une brune au physique quelconque (eh! on fait ce qu'on peut...)

- Tu suces ?

non, je rigole, je lui ai dit:

- (l'air vaguement pervers) Euh... excuse-moi, je peux te poser une petite question ?
- Oui, vas-y
- Tu sais quelle heure il est ?

Léger sourire sur les lèvres de la fille car c'est un classique: prendre un air sérieux/poser une question comique, prendre un air inquiétant/poser une question anodine... ça amuse toujours. L'introduction était faite, la vraie drague pouvait commencer! je déplois ma panoplie: une bonne culture générale (enfin, un bon étalage...) mais en évitant de sombrer dans le débat philosophique (on est en boîte, n'oubliez pas), pas mal d'humour sur soi (facile), quelques allusions un peu sexe (vite suivies d'un grand non, je rigole )... sauf que la fille habitait Valenciennes et moi les trucs à l'ancienne, c'est pas ma came. J'ai donc fini la soirée seul car la seule autre fille à peu près potable qui ne m'a pas regardé de manière méprisante était maquée et son mec ne semblait pas fana de triolisme. A part ça, je me branle toujours autant en pensant à Anna Nicole Smith.
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dimanche, février 13, 2005

Ivre de livres...

Petite dragouille dans un de mes lieux de perdition préféré: la FNAC. Ah... la FNAC et ses rayons librairie remplies de minettes aussi intellos que chaudasses (enfin, ça c'est juste un fantasme à moi). C'est si facile de se faire passer pour un amateur de littérature et d'en profiter pour tchatcher éhontement des pucelles pleines aux as (un autre fantasme...) Je me souviens avec émotion de cette superbe Allemande (rien que d'y repenser, j'en ai le sloggy tout mouillé) qui me demandait de quoi parlait en général les romans de Marie Desplechin, et à qui j'ai répondu:
- De sentiments!
le tout sans rigoler... Bref cet après-midi, j'ai vite repéré une grognasse (c'est mon sixième sens qui m'a indiqué que c'était une grognasse) à qui j'ai posé une question en apparence toute simple:
- A ton avis, c'est quoi le meilleur roman de toute cette libraire ?
Il semble que le côté humoristique de la phrase n'ait pas été perçu par mon interlocutrice (parce que c'était une grognasse ?) ou alors mes intentions draguistiques ont vite été repérées... elle m'a donc zappé sans même daigner hausser les épaules. A part ça, elle avait une bouche à pipes.
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samedi, février 12, 2005

Métro, boulot, branlette, dodo...

Comme à peu près tous les jours, j'ai pris le métro aujourd'hui et ma question est la suivante: pourquoi est-ce que les filles évitent de regarder les mecs dans les yeux ? C'est une question très importante car je suis persuadé que si une fille me regardait dans les yeux, je pourrais lui faire un petit sourire, elle pourrait ensuite me faire un petit sourire, je pourrais donc l'aborder gentiment en lui disant par exemple que j'adore l'auteur du livre qu'elle est en train de lire, et que c'est normal car c'est moi-même en personne (vive les pléonasmes...) qui lui ai appris à écrire, elle glousserait gentiment, et tout ça se terminerait par un chopage de numéro en bonne et due forme. Au lieu de ça, elles évitent soigneusement de regarder qui que ce soit dans les yeux et moi je ne choppe pas. A part ça, j'ai croisé le sosie d'Angélina Jolie et elle était vraiment bonne.
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vendredi, février 11, 2005

L'allumeuse qui mouille...

Tout avait bien commencé avec Moby. Rencontre en boîte, à l'époque elle avait un mec, elle était amoureuse (lol), il y avait peu de lumière et elle avait des hauts talons donc j'étais plutôt excité malgré ses 127kgs (environ... j'ai jamais eu suffisament d'humour pour pouvoir lui demander son poids). Le soir même, elle me faisait comprendre que si elle n'avait pas eu ses ragnagnas, elle se serait volontiers faite troncher par mon auguste personne. Hélas! le simple fait qu'elle cède lui avait fait perdre tout interêt à mes yeux et je ne souhaitais même pas qu'elle s'occuppe buccalement de Brice (mon kikounet). Etant un gentil garçon, je lui ai quand même laissé mon numéro et ce qui devait arriver arriva: les coups de fil plurent comme à Gravelotte; je pense que vous avez deviné la suite: un subtil exercice de manipulation ("mais si tu me plais, j'ai pas appelé comme promis parce que mon chien fait une dépression... tu as raison, je n'ai pas de chien, mais j'en aurai peut-être un jour") pour maintenir son désir au top. Ca a quand même duré un an et demi, dix-huit mois pendant lesquels elle a juste eu droit à trois baisers et demi (la garce a réussi à me voler un baiser, suite à un moment d'inadvertance de ma part). Mais depuis un mois environ, rien. Plus de nouvelles. Ca m'embête un peu car, ne me demandez pas pourquoi, j'aime bien avoir des groupies énamourées (même lorsqu'elles sont aussi bandantes qu'une serpillière). Je crois que je vais lui passer un petit coup de fil, histoire de lui faire un numéro de charme dont j'ai le secret. Et lui demander des nouvelles de sa coloc', qui est encore moins attirante qu'elle (mais qui a d'énormes seins). A part ça, je suis aussi sorti avec cette coloc' mais je n'ai pas consommé, là non plus: c'était juste pour rendre Moby jalouse.
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jeudi, février 10, 2005

Ma vie, mon blog, mon zob...

Voilà, j'ai fait comme on m'a dit, j'ai créé mon blog. Petite présentation: parisien, 27 ans, affamé. Ce que je cherche ? une fille grande, blonde avec de longs cheveux, mince, belle et avec des gros nénés (Adriana Karembeu, en résumé) A défaut, n'importe quelle donzelle voulant assouvir mon appétit sera la bienvenue (oui, oui, j'ai bien dit n'importe quelle...) Ce que je demande ? pas grand chose: une bonne pipe (les yeux ouverts, please...), un peu de missionnaire et une faciale pour terminer (un avalage serait un plus très apprecié). A part ça, je suis très romantique.
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